Fessées

Lundi 1 décembre 1 01 /12 /Déc 05:18

- Allo… Rémi ?… C’est moi !… Il y a eu un problème avec la voiture… - Qu’est-ce qui s’est passé ?… - J’ai rien, rassure-toi !… Absolument rien… Pas une égratignure… - T’as eu un accident ?… - Un con qui tenait toute la route… Mais j’ai rien… La voiture, elle par contre, elle est morte… - C’est pas grave la voiture… On est bien assurés… Bon, mais je viens te chercher… Tu es où ?… - A Chateaubriant… Devant l’hôpital… - A Chateaubriant !?…  Qu’est-ce que tu pouvais bien fabriquer à Chateaubriant ?… - Dis, Rémi, on a bien le prêt de volant ?… - On l’a, oui… Sauf pour les jeunes conducteurs… Pourquoi ?… - C’est quoi les jeunes conducteurs ?… - Moins de 25 ans et moins de deux ans de permis… - Il les a pas… - Qui ça ?… - Benjamin… Le fils d’une amie… Il avait un truc urgent à faire en ville… Il a absolument voulu conduire et… - Quelle amie ?… - Tu connais pas… - Non, mais tu me prends vraiment pour un imbécile, hein !…

 

- Monte !… Il a démarré en trombe… - T’es contente ?… T’es fière de toi ?… Une bagnole de 40 patates… Avec une ribambelle de chevaux sous le capot… Et toi, tu trouves rien de mieux à faire que de la coller entre les mains d’un gamin qui sait à peine conduire… Tout ça parce qu’il te tire… J’espère qu’il le fait bien au moins… Parce que vu ce que ça va nous coûter… T’es irresponsable… Complètement irresponsable… Et t’as seulement pas eu l’idée de dire que c’était toi qui conduisais ?… - Il était coincé sous le volant… C’est les pompiers qui l’ont sorti… - Et on peut savoir où tu l’as déniché ce Vatanen ?… Tu fais les sorties des écoles ?… Ca t’excite les petits puceaux ?… C’est vrai que c’est plein de sève à cet âge-là… Que ça se dépense sans compter… Et évidemment tu t’envoies en l’air sans capote… Bien entendu… Tant qu’à te comporter comme une gamine autant le faire jusqu’au bout… Bon, mais du coup, il va y avoir des décisions à prendre… On verra ça demain… Il fera jour… En attendant t’as le canapé qui te tend les bras dans le séjour…

 

- Qu’est-ce que tu fais ?… - J’appelle maître Berthier… - Attends, Rémi, non, attends !… - Attendre ?… Attendre quoi ?… Au point où on en est… Alors plus vite ce sera fait et mieux ça vaudra… - Je veux pas, Rémi… Je veux pas… Qu’est-ce que je vais devenir, moi, sans toi ?… Donne-moi encore une chance, je t’en supplie… Je ferai ce que tu voudras… Tout ce que tu voudras… - Je passe ma vie à ça te donner des chances… Et à réparer, autant que faire se peut, tes multiples conneries… Mais cette fois j’ai l’overdose… J’ai vraiment l’overdose… Alors tu vas de ton côté et moi du mien… - Mais c’est pas possible, Rémi… Ca peut pas finir comme ça tous les deux… C’est trop injuste… Reste avec moi… Tu n’auras plus rien à me reprocher… Jamais… Je te promets… - J’ai déjà entendu ça dix mille fois… - Oui, mais cette fois ce sera vrai… Si ça l’est pas tu me puniras… Comme tu voudras… Tant que tu voudras… Mais je veux pas que tu me quittes… Je veux pas… Punis-moi !… Vas-y !… Punis-moi pour tout ça… Comme tu veux… Une fessée même si tu veux… Mais me quitte pas…

 

- Eh ben viens alors !… Viens te mettre en position… Qu’est-ce que t’attends ?… Oh, mais si t’as changé d’avis c’est pas un problème… Tu me passes le téléphone et… - Non, Rémi, non… Pas le téléphone… - Alors tu sais ce qui te reste à faire… Là… Cale-toi bien… Tu seras plus à l’aise… Parce que ça risque d’être long… C’est quoi cette petite culotte ?… Je la connaissais pas… C’est ton morveux qui te l’a offerte ?… Non ?… Evidemment non… A cet âge-là on n’a pas le sou… Et ça vaut une fortune un truc pareil… Tu te refuses rien, dis donc, toi, quand tu vas à la chasse au mâle… Et c’est moi qui paie… Ca t’excite de te dire que c’est moi qui paie ?… Oui… Bien sûr que ça t’excite… Je te connais depuis le temps… Bon… Eh bien en attendant on va l’enlever… Confisquée… Aide-moi… Soulève-toi un peu… Là… T’as vraiment un cul magnifique… J’ai toujours trouvé que t’avais un cul magnifique… Il en a délicatement caressé le pourtour… S’est insinué dans la raie entre les fesses… J’espère qu’il l’apprécie à sa juste valeur au moins… Hein ?… Il en dit quoi ?… Il te prend souvent entre les fesses ?… Eh bien réponds!… - Je t’en prie, Rémi… - Réponds !… Il te prend entre les fesses ?… - Mais non !… Bien sûr que non… - Menteuse !… Tu adores ça… Et la première claque l’a mordue… Lancée à toute volée… Elle a sursauté, crié… - Dis la vérité !… Il t’encule ?… - Quelquefois… Pas souvent… - Ah, tu vois !… J’en étais sûr… Et il a tapé… Une trentaine de claques vigoureusement appliquées du plat de la main… Elle a gigoté… Elle s’est tortillée… Elle a gémi… Il n’en a tenu aucun compte… - Et quoi d’autre ?… Qu’est-ce qu’il te fait d’autre ?… - Mais rien… Rien du tout… - Et toi ?… Qu’est-ce que tu lui fais ?… - Mais rien… Rien non plus… Aïe !… Pas si fort, Remi !… Je t’en supplie… Pas si fort… Aïe !… Non !… - Qu’est-ce que tu lui fais ?… Tu vas le dire… Je t’assure que tu vas le dire… - Je le suce… - Ah, ben voilà !… Tu avales ?… Eh bien réponds !… Tu avales ?… - Des fois… Pas toujours… - Tu l’aimes sa queue ?… Elle est comment ?… - Je sais pas, moi !… Comme une queue… Aïe !… Aïe !… Moyenne… Normale… - Et les couilles ?… Tu t’amuses bien avec ?… Tu les tripotes ?… Tu les fais rouler ?… - S’il te plaît, Rémi, s’il te plaît, me force pas à dire tout ça… - Quand il s’agit de le faire t’as moins de scrupules… Et moi, pendant ce temps-là, je me crève au boulot… Et tu trouves ça normal ?… Eh ben non ça l’est pas… Non… Et c’est tombé. A toute volée. A plein régime. Elle s’est disloquée. Elle a battu des jambes en tous sens. Elle a hurlé. Pleuré. Mais elle n’a pas tenté de lui échapper. Dans le lit, après, elle s’est blottie contre lui. Apaisée.

Par Fabien - Publié dans : Fessées
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Vendredi 21 novembre 5 21 /11 /Nov 21:21

J’avais un bon métier, je gagnais bien ma vie… Qu’est-ce que j’avais besoin d’aller m’expatrier à 600 kms de là pour reprendre un magasin de souvenirs qui partait à vau-l’eau. Je cherchais vraiment les cordes pour me faire battre ! Même si elle ne s’exprimait pas toujours ouvertement la réprobation était générale.

 

Il n’y avait qu’Emilie, la fille de mes plus proches voisins, pour, du haut de ses vingt ans, me soutenir énergiquement… - Laisse-les dire !… Ils sont jaloux… Ils ont peur de tout n’importe comment… C’est des vieux… Et même ceux qui le sont pas ils le sont dans leur tête… Son soutien n’était pas complètement désintéressé. Elle escomptait bien que je l’embaucherais pour la durée des vacances universitaires… - T’auras besoin de quelqu’un là-bas… Avec tous les touristes qu’il va y avoir !… Alors autant que ce soit moi…

 

Ce fut elle. Elle était dégourdie, pleine de bonne volonté et ne rechignait pas à la tâche. En dehors des heures de travail elle était de compagnie très agréable et mettait la main à la pâte sans qu’il soit nécessaire de le lui demander. Aussi le jour où elle a sollicité l’autorisation de recevoir son petit ami… - C’est juste pour une nuit… Il descend rejoindre sa famille en Italie… Ca lui fera une étape… Et ça nous donnera l’occasion de nous voir un peu tous les deux… je la lui ai bien volontiers accordée.

 

Ce n’était pas forcément une bonne idée parce qu’il y avait, à l’évidence, de l’eau dans le gaz. A peine était-il arrivé qu’ils se sont enfermés dans la chambre d’Emilie pour une conversation animée dont ils ont généreusement fait profiter tout le quartier. J’y ai mis fin en les appelant pour passer à table… - Ca va être trop cuit… Pendant le repas ils ont essayé de faire bonne figure, lui surtout que je voyais pour la première fois, mais le cœur n’y était manifestement pas. Elle, elle mastiquait rageusement sans desserrer les dents. Elle a expédié son dessert, puis la vaisselle… - Tu nous excuses, mais on a à parler tous les deux… C’est important…

 

A parler ? A hurler plutôt, oui !… Elle en tout cas. A pleins poumons. Elle l’accablait de reproches auxquels elle l’empêchait de répondre, si il s’y essayait, en le traitant de tous les noms. C’était entrecoupé de brusques crises de sanglots auxquelles il essayait tendrement de mettre fin… - Me touche pas, espèce de salopard !… Garde tes caresses pour ta pétasse… Et ça repartait de plus belle…

 

A dix heures j’ai donné quelque coups dans le mur… - Ca suffit maintenant, Emilie !… Il y a des voisins… Ils ont droit à leur tranquillité… Ca s’est apaisé. Ca a chuchoté. Je me suis endormi…

 

C’est un hurlement qui m’a brusquement tiré du sommeil sur le coup de deux heures du matin… - En plus !… Mais t’es qu’une ordure !… T’es vraiment qu’une sale ordure !… Tu vas me le payer… Je te jure que tu vas me le payer… - C’est bon maintenant !… Tu me lâches… Tu me laisses dormir… J’ai de la route à faire, moi, demain !… Et alors !… Qu’est-ce que j’en ai à foutre !… Et elle l’a bourré de coups de poing. Il s’est levé. Il est venu frapper à ma porte… - S’il vous plaît, vous pouvez pas faire quelque chose ?… J’y arrive pas… - Il y a un canapé dans le séjour…

 

Un canapé sur lequel elle a voulu venir le rejoindre, d’autorité, quelques instants plus tard alors que je venais de me recoucher… - Parce que tu vas pas s’en tirer comme ça… Ah, mais non !… Ah, mais non !… Ce serait trop facile… Espèce de lâche !… Tu fuis encore… T’arrêtes pas de fuir… C’est tout ce que tu sais faire… Fuir… Je m’apprêtais à intervenir quand on a sonné… C’était le voisin du dessus… - C’est pas bientôt fini cette comédie ?… Je vous préviens : si ça continue j’appelle les gendarmes… Ca l’a complètement dégrisée. D’un coup… - On va dormir… Oui, oui, on va dormir… Juré… Ils ont regagné la chambre. Le silence enfin. Un silence au cœur duquel, au petit matin, elle a gémi doucement son plaisir.

 

Quand je me suis levé il était parti. Elle, elle déjeunait debout dans la cuisine. Elle m’a lancé un regard contrit… - Je suis désolée pour cette nuit… Vraiment désolée… Tout est de ma faute… Elle a hésité et puis elle a lâché tout bas… - Je te demande pardon… - Tu peux… Ah, tu peux !… C’est un minimum… Tu t’es comportée d’une façon inqualifiable… Vis-à-vis de moi qui te reçois et qui t’héberge… De ton ami que tu as mis dans une situation des plus inconfortables… Des voisins… De quoi je vais avoir l’air, moi, maintenant devant les voisins ?… - Je m’excuse… - Et tu crois que ça suffit ?… Qu’on peut pousser des hurlements toute la nuit, empêcher tout un immeuble de dormir et qu’il suffit de s’excuser platement le lendemain matin pour que tout rentre dans l’ordre ?… Non… Tu sais ce que tu mériterais ?… Elle a levé sur moi un regard interrogateur… - C’est une bonne fessée… Une bonne fessée qui te serve de leçon et qui t’ôte toute envie de recommencer… Quelque chose d’à la fois sombre et lumineux est passé dans son regard qu’elle a aussitôt baissé… - Tu l’as amplement méritée, non ?… Tu ne crois pas ?… - Si !… Dans un souffle… - Et tu vas l’avoir…

 

Elle s’est laissé entraîner sans la moindre résistance jusqu’au canapé du séjour sur lequel je me suis confortablement assis. J’ai passé la main sous la robe, fait glisser la culotte qui est tombée sur les chevilles. J’ai pris ses mains entre les miennes… - Il faut absolument que tu apprennes à te contrôler… Dans ton propre intérêt… Parce que à quoi ça ressemble de te mettre dans des états pareils ?… Hein ?… Et surtout… à quoi ça t’avance ?… Tu peux me dire ?… A rien… Absolument à rien… Qu’à te mettre en position de faiblesse… Parce qu’au bout du compte dans cette histoire le vainqueur c’est lui… Non ?… - Si… - Ah, tu vois… Il faut que tu essaies de t’amender… Tu me promets de faire des efforts ?… - Oui… Je l’ai fait basculer en travers de mes genoux. J’ai lentement remonté la robe jusqu’au-dessus de la taille. J’ai déposé une main au creux des fesses. Je l’y ai longuement laissé séjourner avant de la lever. Son derrière s’est crispé dans l’attente du premier coup. Qui est enfin tombé. Suivi d’une multitude d’autres en pluie grêlée. Elle a gémi. Elle a gigoté. Elle a crié.

 

- Là… Allez, c’est tout… C’est fini… Pour cette fois… File vite ouvrir le magasin… C’est l’heure… Elle a dévalé l’escalier. La culotte est restée au pied du canapé.
Par Fabien - Publié dans : Fessées
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Jeudi 19 juin 4 19 /06 /Juin 05:48

Après bien des hésitations je m’y suis enfin résolue… Après tout ça mettrait un peu de vie et d’animation dans une maison bien vide depuis la mort de Jean… Ca me ferait une compagnie… Et puis – ce n’était pas à négliger – un petit apport financier…

 

Deux sœurs… 23 et 19 ans… Toutes les deux étudiantes… Et désireuses d’échapper à un oppressant cocon familial… On s’est tout de suite entendues… Et sur le prix… Chacune sa chambre… Elles y tenaient… 130 euros par mois… Une bénédiction pour elles… Et sur les conditions d’utilisation des pièces communes… Que personne ne cherche à empiéter sur le territoire de personne et j’étais toute disposée à me montrer souple et conciliante… En ce qui concernait les visites par contre, je tenais à ce qu’elles fassent, au cas par cas, l’objet d’un accord préalable. Elles devaient bien comprendre que je ne tenais pas à ce que ma maison se transforme en moulin où n’importe qui pourrait, à tout moment, aller et venir comme bon lui semblerait. Elles en ont convenu. Elles étaient de toute façon prêtes à convenir de tout pour profiter de l’aubaine…

 

On vivait en bonne harmonie toutes les trois… On partageait la maison sans heurts majeurs… Il y avait bien, de temps à autre, des dissenssions entre elles, des querelles dont elles prenaient soin de me tenir à l’écart et dont ne me parvenaient fort heureusement que de lointains échos… Je n’avais, d’une manière générale, qu’à me louer de cette irruption de fraîcheur et de jeunesse dans mon univers…

 

On prenait parfois nos repas toutes les trois ensemble. Ou à deux. Ou toutes seules. Tout dépendait des occupations, des horaires et de l’envie du moment des unes et des autres… Valentine, l’aînée, se plaisait manifestement à discuter avec moi… Elle s’attardait à table en ma compagnie, racontait, m’interrogeait… Elle était peu à peu entrée en confidences et m’entretenait longuement d’un étudiant en médecine dont elle était tombée éperdument amoureuse… Et… justement… est-ce qu’il ne pourrait pas venir la voir ici le soir de temps en temps ?… 

 

Il est venu… Il a filé sans bruit jusqu’à sa chambre… Il a disparu au petit matin… Il est revenu… Souvent… De plus en plus souvent…

 

Marjorie n’a pas voulu être en reste… Bon, mais alors si sa sœur recevait ses mecs, elle pouvait bien, elle, recevoir des copains qui n’étaient que des copains ?… Oui, mais un par un, et à condition qu’ils ne fassent pas plus de bruit que n’en faisait le petit ami de Valentine… Oh, mais ça se recevait toujours à plusieurs les copains !… C’était pas marrant sinon… Dans ce cas c’était non… Mais pourquoi ?… Parce que je ne tenais pas à voir la maison envahie par toute une bande qui l’investirait, se répandrait dans tous les coins et y prendrait, au fil du temps, de plus en plus ses aises… - D’autant plus, a fait remarquer Valentine sans avoir l’air d’y toucher, qu’ils boivent… Et qu’ils fument… Et que ce qu’ils fument c’est… - Toi, ta gueule !… Oui, alors en somme, si elle voulait qu’on vienne la voir fallait qu’elle couche… comme l’autre, là… de toute façon celle-là il y en avait jamais eu que pour elle… Depuis toujours… Depuis toute petite… Oui, je voulais la faire coucher… - Vous êtes vraiment complètement tordue, hein !… - Non, mais dis donc, tu veux me parler correctement, oui !… - Je parle comme je veux… Ca a été d’instinct, par pur réflexe… J’allais quand même pas me laisser marcher sur les pieds par une gamine d’à peine vingt ans !… Je me suis levée et je lui ai lancé sur les fesses, par dessus le jean, quatre ou cinq claques bien senties… - Et essaie de recommencer pour voir !… Elle est partie, sans un mot, s’enfermer dans sa chambre… Valentine a ri… - Oh, elle recommencera… Même que vous la lui mettiez à cul nu c’est pas une fessée qui va l’arrêter… Au contraire !… Elle adore ça…

 

- Mais qu’est-ce qui s’est passé ici ?… Je revenais d’un week end chez ma sœur, dans les Ardennes… L’abat-jour de ma belle lampe verte était complètement défoncé et une énorme tâche brune s’étalait de tout son long sur le tapis… Marjorie n’a pas cherché à nier… - C’est moi !… Je suis désolée… Je suis vraiment désolée… C’est en allant chercher du Coca cette nuit… Je me suis pris les pieds dans le tapis et… Valentine a brusquement fait irruption en compagnie de son petit ami… - Elle s’est pas cassé la figure du tout… Elle avait invité des copains et des copines… Une dizaine… Ils ont fait la fête toute la nuit et ils se sont dépêchés de tout nettoyer avant que vous arriviez… - C’est vrai ?… Elle n’a pas répondu… Elle se contentait de fixer obstinément quelque chose par terre… - Je te l’avais formellement interdit… Sans un mot je l’ai prise par la main et entraînée jusqu’au canapé… Elle n’a pas opposé la moindre résistance… Quand j’ai passé la main sous la robe et descendu la culotte non plus… Elle s’est docilement laissé coucher en travers de mes genoux… Elle a frémi sous le premier coup… Gémi sous les autres… Franchement crié à la fin… A pleine voix…

 

Elle s’est laissé lourdement retomber sur le tapis, y est restée, inerte, les yeux clos, le derrière – copieusement rougi – à l’air… Valentine s’est éclipsée avec son petit ami… Et, pour la première fois, elle a clamé éperdument son extase…
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Dimanche 8 juin 7 08 /06 /Juin 21:11

- Tu sais quoi ?… Je l’ai raconté à quelqu’un – un copain à la fac – que tu me flanquais la fessée… J’avais bien trop envie qu’il y ait quelqu’un qui sache… Mais pas n’importe qui… Quelqu’un que je connais, que je vois tous les jours… Quelqu’un qui soit obligé d’y penser chaque fois qu’il me voit et que moi je sois obligée d’avoir honte en pensant qu’il y pense… - Et t’as pas peur qu’il aille le chanter sur les toits ?… - Oh non, non !… Parce que lui aussi il m’a dit des choses qu’il aurait vraiment pas intérêt à ce qu’on sache… - Qu’est-ce que tu lui as raconté au juste ?… - Pas la vérité, attends !… Ce serait pas drôle… Non… Que tu me punis chaque fois que je fais des bêtises ou des trucs que tu veux pas… - Et il a pris ça comment ?… - Il me plaint… Il arrête pas de me plaindre… « - Ma pauvre !… Mais faut pas te laisser faire !… Il a pas le droit… »… Mais en même temps il arrête pas de me poser des tas de questions… Si tu me baisses ma petite culotte… Si tu tapes fort… Et c’était quand la dernière fois que j’en ai pris une ?… Et qu’est-ce que j’avais fait ?… Ca le met dans tous ses états, je le vois bien… Moi aussi d’ailleurs !… Comment j’aime ça en parler !…

 

- Il me croit pas !… - Comment ça il te croit pas ?… - Non… Il me croit plus… Il dit que j’invente… Que je l’ai jamais reçue la fessée… Et que t’existes même pas !… Oh, mais il va voir !… Il va voir si je suis une menteuse… Il va voir… - Bon… Alors si je comprends bien t’es venue chercher des preuves toutes chaudes que tu vas te dépêcher d’aller lui mettre sous le nez… - Oui… Non… Il me croirait quand même pas si ça tombe… Il penserait que je me le suis fait toute seule… Et puis attends !… Je peux quand même pas m’amener comme ça et me foutre le cul à l’air… « C’est moi qu’avais raison, na na naire ! »… T’imagines ?… - C’est peut-être justement pour ça – pour que tu lui montres – qu’il fait semblant de pas te croire… - Oui, ben je pourrai jamais… Non… Tu sais ce qu’il faudrait ?… C’est que tu m’en colles une, toi, devant lui… Là j’aurais pas le choix… Un jour qu’on travaillerait ensemble chez moi… Tu te pointerais et tu serais tellement en colère que tu ferais même pas attention à lui… Il serait bien obligé de voir que t’existes… Comment j’aurais honte !… Comment ça me plairait !…

 

Je n’ai pas frappé… Je suis allé droit sur elle… - Fais-moi voir tes relevés de compte… - Hein ?!… Mais pourquoi ?… Je sais pas où ils sont… - Ben tâche de les trouver… Elle a soulevé des piles de livres, déplacé des bibelots, fini par les extirper, à contre-cœur, tout froissés, du fond d’un tiroir… - Donne !… J’ai fait mine de les parcourir… - C’est quoi cette carte bleue ?… 272 euros… Encore des sapes évidemment… Et là, 89 euros… Des DVD bien sûr !… Et là !… Et là !… Non, mais tu te rends compte des sommes que ça finit par faire !… - Ce sont mes thunes… C’est moi que ça regarde… - Non, mais dis donc, je me suis porté garant, je te rappelle… Et la banque vient encore de me klaxonner… J’en ai marre, mais marre d’être obligé de renflouer ton compte tous les mois… Alors cette fois ça suffit !… Tu sais ce qui t’attend… C’est pas faute de t’avoir prévenue… - Non !… Non !… Pas ça !… Non, s’il te plaît !… Je le ferai plus, j’te promets !… - Tu les tiens jamais tes promesses !… Moi, si !… Et je l’ai empoignée…

 

- Qu’est-ce que t’as braillé !… Ca faisait vraiment beaucoup plus mal que d’habitude ?… - Oh non !… Non !… Pareil… Mais fallait bien en rajouter un peu… - Et qu’est-ce que t’as gigoté !… Tu lui as offert des aperçus saisissants, dis donc !… - Oui, bon, ça va !… Ce que je regrette quand même, c’est que placée comme j’étais, je pouvais pas voir sa tête pendant ce temps-là… - Moi non plus !… J’étais supposé ne pas même avoir remarqué qu’il était là… Et après, quand j’ai été parti, il s’est passé quoi ?… - Après ?… J’ai pleuré… Toutes les larmes de mon corps… Il a voulu me consoler… Je l’ai repoussé… « - Ah non, non !… Fous-moi la paix, toi !… Et puis dégage !… Je veux plus jamais te voir… J’ai bien trop honte… Et talali et talala… »…  Je suis douée, hein ?…

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Dimanche 1 avril 7 01 /04 /Avr 20:59

L A     F E S S E E     D E     C H A R L O T T E  ( 3 )

 

 

 

- Tu voudras jamais n’importe comment… C’est pas la peine… - Je voudrai jamais quoi ?… - Un truc que ça alors si on le faisait comment j’aimerais !… - Si tu dis pas ce que c’est… - C’est… c’est que tu m’en promettes une devant plein de gens qui seraient autour et qui entendraient… Que j’aie honte comme c’est pas possible d’avoir honte… - Ca, c’est pas bien difficile à réaliser… A la caisse d’un Supermarché par exemple… - Mais alors pas ici, hein !… On retourne à Lyon…

 

 

- Fais attention, Charlotte , fais bien attention !… On avait choisi la queue la plus longue… - Mais j’ai rien fait… Qu’est-ce que j’ai fait ?… - Fiche-toi bien de moi en plus !… Mais attends… Attends qu’on soit rentrés… On verra si tu fais autant ta maligne… Parce que je peux te dire que cette fois tu vas pas y couper… Et que tu vas t’en souvenir… Elles vont te chauffer un moment les fesses…

 

 

- Ils faisaient quoi les gens ?… J’osais pas regarder, moi !… - Oui, t’avais un petits air contrit qui t’allait à merveille… C’était criant de vérité… - Ils ont entendu ?… Ils se sont rendu compte ?… - Oh que oui !… Je parlais assez fort, non ?… - Et alors ?… - Alors… Ben alors le couple derrière nous a longuement commenté à voix basse… Jusqu’à ce qu’on s’en aille ils ne t’ont pas quittée des yeux… Il y avait un jeune, juste après, qui rigolait franchement… Quant aux deux petits vieux à la caisse à côté il fallait voir leur tête… Sidérés ils étaient… Littéralement sidérés… Et la caissière !… Alors là la caissière… - Oui… Elle, j’ai un peu vu… Je suis sûre qu’elle en prend aussi…

 

 

- Evidemment ce qu’il faudrait c’est que tu m’en donnes vraiment une devant du monde… Seulement ça !… - Pourquoi pas ?… - Non, mais c’est pas possible, attends !… T’imagines ?… - En grande surface c’est pas possible, non, ça c’est sûr, mais dans un petit magasin un peu à l’écart si les circonstances s’y prêtent…

 

 

- Là ?… C’était un type d’une cinquantaine d’années qui l’a avidement dévorée du regard, par en dessous, tandis qu’elle déambulait au milieu des strings, culottes et soutien-gorge, tâtant ici, décrochant là, reposant, recommençant un peu plus loin… - Si la demoiselle veut essayer il y a une cabine… Qui se trouvait juste en face de la caisse… - Non, non, merci… Ca ira…

 

 

 

- Ben alors ?!… Tu me l’as pas donnée… Tu t’es dégonflé ?… - Faut une raison pour donner une fessée… Ca se donne pas sans raison… - Et t’en as pas trouvé ?… - Si, maintenant j’en ai une… Et j’ai sorti de ma poche un minuscule petit string… - C’est pas beau de voler… On t’a jamais appris ça ?… Alors tu vas me faire le plaisir de rapporter ça à ce monsieur tout de suite…

 

 

Elle l’a posé très vite sur la caisse, s’est aussitôt enfuie… - Pas si vite !… Je l’ai rattrapée par le bras, ramenée… - Pas si vite… Tu vas présenter tes excuses à ce monsieur… - Excusez-moi, monsieur… Je suis désolée… - Ca commence à bien faire, Charlotte… Ca commence à bien faire… Tu sais ce que je t’avais dit… Si jamais je t’y reprenais… - Oh non !… S’il te plaît, non !… - C’est ce qu’on va voir… Ca a assez duré cette comédie… Je vais t’en faire passer l’envie, moi… Une bonne fois pour toutes…

 

 

Elle a voulu échapper et je l’ai pourchassée, un bon moment, à travers tout le magasin, finalement acculée contre un mur… - Cette fois tu n’y couperas pas…        - Pas ça !… Non !… Pas ça !… Mais j’ai retroussé la robe, baissé la culotte et tapé… A pleine main… Le type s’était approché… Tout près… Une jeune femme aussi, sortie d’on ne sait où, qui regardait par dessus son épaule… Charlotte a crié, pleuré, supplié, promis… Je me suis montré impitoyable… Son derrière a pris les plus ravissantes des couleurs… J’ai cessé… Elle s’est reculottée sans un mot, est passée, les yeux baissés, devant eux…

 

 

- Non, mais comment c’était excitant !… C’est de la folie !… On recommencera, hein, tu me promets ?… - Quand tu voudras… Mais t’es bien pressée… Tu cours où comme ça ?… - A l’hôtel… Il faut absolument que je me le fasse… Tout de suite… - Devant moi alors !… J’ai bien mérité ça, non ?…

Par François - Publié dans : Fessées
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